Non au racisme antibanlieue !
ou les socialo-communistes à l'assaut de la banlieue française
en germe dans cet extrait de Casablanca
A Monsieur le Président de la République Française,
Maire inoubliable de Neuilly-sur-Seine.
Tout simplement monstrueux ! Et je pèse mes mots ! Que veulent nous faire croire les tenants d'un progressisme bâti en dehors des fondations de notre France éternelle et chrétienne ? Où sont nos valeurs attachées à l'Ordre, à la saine et sainte Morale et à la Foi catholique et romaine ?
N'oublions jamais que l'une des principales monstruosités du socialisme, c'est la solidarité entre tous les hommes ! La seule attitude convenable à adopter devant pareil dessein consiste non pas à l'ignorer mais à l'anéantir. On ne discute pas du socialisme. On le supprime.
Qu'on me permette de faire un retour rapide sur l'histoire et sur ses leçons. Je vais certes en étonner plus d'un, mais il est grand temps de retrouver le chemin de la justice et de la vérité. La conjuration des socialistes de nos jours, d'Aubry à Royal, en passant par Bayrou, traître à la cause de ses pères, est une image parfaite de celle de Catilina. Je m'explique. Les socialistes battus aux élections présidentielles étaient des hommes et des femmes ruinés par le libertinage, par le jeu, par le luxe, par la paresse, par la gourmandise et par la trop grande propagation de l'instruction en des lieux qui ne la méritaient pas.
Mais peu importent, oserais-je dire, les quelques sursauts passagers provoqués par la crise internationale : le socialisme, qu'on peut discuter aujourd'hui sans passion, a livré son dernier combat sous nos yeux, le jour même de votre élection à la magistrature suprême. Il est non seulement vaincu, mais désarmé par le progrès des lumières et le redressement des esprits. Il était temps ! Vous le savez, Monsieur le Président de la République, l'égoïsme, source du socialisme, la jalousie, source de l'internationalisme, ne feront jamais qu'une société faible, incapable de résister à ses puissants voisins et vous êtes mieux placé que quiconque pour savoir que la réponse à chaque progrès du socialisme pourra être de la sorte un progrès du germanisme. On entrevoit le jour, pas si lointain, où les pays de socialisme seront à nouveau gouvernés par des Allemands !
Souvenez-vous, Monsieur le Président, que peu de jours avant votre brillante élection, vous aviez déclaré vouloir "rassembler le peuple français autour d'un nouveau rêve français", en "protégeant les Français", notamment les plus faibles, "contre les peurs qui les habitent". N'aviez-vous pas en tête, dans ce programme prophétique, cet ignoble socialisme, rangé parmi les illusions et les chimères que la Bêtise humaine édifie et démolit tour à tour, et toujours avec la même conviction ?
Nous savons, vous et moi, ce que nos adversaires vont rétorquer. Le socialisme a réclamé hautement l'amélioration du sort des travailleurs. Réclamation honorable, charitable désir : si le socialisme n'avait fait autre chose, il n'aurait droit qu'aux bénédictions des peuples.
Cependant, Monsieur le Président de la République, vous vous accorderez avec moi pour dire qu'à l'expression de ses voeux, le socialisme a joint des théories. Il a proclamé, comme son principe, la virginité de la nature humaine ; il a nié la chute originelle et la rédemption. Pour l'application de ce principe décevant, il s'est porté aux plus tristes extravagances. Utopie, ignominie, faction, extermination : voilà le problème du socialisme.
La charité chrétienne m'obligera-t-elle à taire que tous ces ratés, ces gobeurs, ces misérables ont ajouté une foi absolue à toutes les âneries que les exploiteurs des foules leur ont pompeusement débitées. Ils ont été incapables de comprendre, par exemple, que la propriété et la succession sont deux phénomènes bien simples d'amélioration sociale destinés à déterminer l'individu vers la Loi de la haute valeur de l'acte en sollicitant son intérêt de propriétaire et de père à cultiver le mieux possible.
Prétendre, donc, que "la propriété c'est le vol" est une théorie antinaturelle, une hérésie politique liberticide.
Monsieur le Président de la République Française, raisonnons avec justesse : il est impossible, vous le savez, d'expliquer autrement que par la mode les progrès rapides qu'a fait le mouvement socialiste, mode littéraire, mode élégante. Quelques jeunes esprits, comme ce groupe qui se moque ouvertement de vos concitoyens, trouvant sans doute les temps lourds et ce siècle ennuyeux, demandent au socialisme des émotions nouvelles et une distraction pour leur moi.
Notre devoir est de leur faire barrage et de clamer haut et fort notre attachement à un même corps, le sol français qui nous a vus naître et qui recevra nos dépouilles fécondantes.
Vive la République, vive la France !!
M. Sarkozy avec nos alliés contre l'hégémonisme allemandN'oublions jamais que l'une des principales monstruosités du socialisme, c'est la solidarité entre tous les hommes ! La seule attitude convenable à adopter devant pareil dessein consiste non pas à l'ignorer mais à l'anéantir. On ne discute pas du socialisme. On le supprime.
Plus jamais ça !
Qu'on me permette de faire un retour rapide sur l'histoire et sur ses leçons. Je vais certes en étonner plus d'un, mais il est grand temps de retrouver le chemin de la justice et de la vérité. La conjuration des socialistes de nos jours, d'Aubry à Royal, en passant par Bayrou, traître à la cause de ses pères, est une image parfaite de celle de Catilina. Je m'explique. Les socialistes battus aux élections présidentielles étaient des hommes et des femmes ruinés par le libertinage, par le jeu, par le luxe, par la paresse, par la gourmandise et par la trop grande propagation de l'instruction en des lieux qui ne la méritaient pas.
Mais peu importent, oserais-je dire, les quelques sursauts passagers provoqués par la crise internationale : le socialisme, qu'on peut discuter aujourd'hui sans passion, a livré son dernier combat sous nos yeux, le jour même de votre élection à la magistrature suprême. Il est non seulement vaincu, mais désarmé par le progrès des lumières et le redressement des esprits. Il était temps ! Vous le savez, Monsieur le Président de la République, l'égoïsme, source du socialisme, la jalousie, source de l'internationalisme, ne feront jamais qu'une société faible, incapable de résister à ses puissants voisins et vous êtes mieux placé que quiconque pour savoir que la réponse à chaque progrès du socialisme pourra être de la sorte un progrès du germanisme. On entrevoit le jour, pas si lointain, où les pays de socialisme seront à nouveau gouvernés par des Allemands !
Souvenez-vous, Monsieur le Président, que peu de jours avant votre brillante élection, vous aviez déclaré vouloir "rassembler le peuple français autour d'un nouveau rêve français", en "protégeant les Français", notamment les plus faibles, "contre les peurs qui les habitent". N'aviez-vous pas en tête, dans ce programme prophétique, cet ignoble socialisme, rangé parmi les illusions et les chimères que la Bêtise humaine édifie et démolit tour à tour, et toujours avec la même conviction ?
Un maire de banlieue à l'Elysée,
un exemple pour la jeunesse de la vraie France
un exemple pour la jeunesse de la vraie France
Nous savons, vous et moi, ce que nos adversaires vont rétorquer. Le socialisme a réclamé hautement l'amélioration du sort des travailleurs. Réclamation honorable, charitable désir : si le socialisme n'avait fait autre chose, il n'aurait droit qu'aux bénédictions des peuples.
Cependant, Monsieur le Président de la République, vous vous accorderez avec moi pour dire qu'à l'expression de ses voeux, le socialisme a joint des théories. Il a proclamé, comme son principe, la virginité de la nature humaine ; il a nié la chute originelle et la rédemption. Pour l'application de ce principe décevant, il s'est porté aux plus tristes extravagances. Utopie, ignominie, faction, extermination : voilà le problème du socialisme.
La charité chrétienne m'obligera-t-elle à taire que tous ces ratés, ces gobeurs, ces misérables ont ajouté une foi absolue à toutes les âneries que les exploiteurs des foules leur ont pompeusement débitées. Ils ont été incapables de comprendre, par exemple, que la propriété et la succession sont deux phénomènes bien simples d'amélioration sociale destinés à déterminer l'individu vers la Loi de la haute valeur de l'acte en sollicitant son intérêt de propriétaire et de père à cultiver le mieux possible.
Prétendre, donc, que "la propriété c'est le vol" est une théorie antinaturelle, une hérésie politique liberticide.
Monsieur le Président de la République Française, raisonnons avec justesse : il est impossible, vous le savez, d'expliquer autrement que par la mode les progrès rapides qu'a fait le mouvement socialiste, mode littéraire, mode élégante. Quelques jeunes esprits, comme ce groupe qui se moque ouvertement de vos concitoyens, trouvant sans doute les temps lourds et ce siècle ennuyeux, demandent au socialisme des émotions nouvelles et une distraction pour leur moi.
Les Inconnus, 1991, ou le ravage du burlesque
exercé contre les valeurs nationales
exercé contre les valeurs nationales
Notre devoir est de leur faire barrage et de clamer haut et fort notre attachement à un même corps, le sol français qui nous a vus naître et qui recevra nos dépouilles fécondantes.
Vive la République, vive la France !!
en germe dans cet extrait de Casablanca