Mes belles noiseuses du facebook endiablé,

Publié le par Bernard Bonnejean

Mes belles noiseuses du facebook endiablé,

Mes belles noiseuses du facebook endiablé,

joyaux incouronnés de mes rêves d’antan, bichettes perdues au milieu des houri, vous osez, courageuses, faire le pied de grues devant ma porte, confidentes tardives de mes soupirs scellés, et je ne vous réponds pas. Demain, peut-être ? Pas davantage, même encore moins car demain sonnera pour moi le glas du jeune aujourd’hui défunt. Cessez de me casser mes burnes embimbeloteriées ! Mes charmantes roubignoles, je me les garde désormais, ridées et assagies.

Allez voir plutôt chez de plus récents de quoi renouveler votre lignée.

Inutile de vous inventer un pedigree racé du genre de cette mignonne qui, "directrice d’ONG", ancienne étudiante à l"’Université d’Auvergne" après des études secondaires au "Lycée Émile Duclaux", a fini par asseoir son jeune derrière en Aurillac et m’a confié sur ma messagerie, tout sans trac : « Coucou, tu est là ? Tu refuse de me répondre ? Mais fais êtes faire ?? » Pas très efficace l'enseignement arverne si j'en crois le niveau des toutes jeunes anciennes...

Ma Collette chérie, puisque Collette il y a après une certaine et bien jolie Stéphanie Demir ("Ce message n’est plus disponible car il a été identifié comme abusif ou marqué comme courrier indésirable"), je vous convie à partir loin éteindre cet incendie que j’ai allumé, bien malgré moi. Comme un footballeur récemment victorieux je ne pourrai dire, pompier involontaire et surtout pas pyromane : « S’agirait pas non plus de s’enflammer ».

Bisous.

Photo : D'accord ! Mais j'y peux rien moi ! Je fais rien pour !

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article